Consensus social

La manipulation psychique est vieille comme le monde. Et comme on sait, ce qui traverse les siècles doit s'adapter aux changements. Le nazisme a réussi l'exploit en créant l'euphorie à l'aide de Pervitin (christal meth) distribué comme des bonbons à la population alors que du côté de dirigeants, dont Hilter, l'assurance d'une bonne prestation par l'injection d'Eucodale. Un univers très proches de celui du Roch'n Roll évoluant par l'endoctrinement des foules. Avec l'actuel complexité social reposant sur la diversité du mondialisme, la tendance est d'opter pour le «consensus social» pour exclure des idées, individus, visions et discours, pour faciliter la manipulation psychique. Faire croire que la perception de la réalité de certains serait fausse, afin de manipuler plus facilement la population. Une analyse que je me permet en m'inspirant des politiques québécois du PLQ de Philippe Couillard servant à isoler les Québécois d'un mondialisme de la totalité qui porte de plus en plus les empreintes d'un totalitarisme s'exprimant par le retrait des droits de propriété face aux pétrolières, de tenir des référendums municipaux et de contester devant la cour des expropriations... Bref, il semblerait que le consensus social aurait évolué vers un système politique où il ne manque que des camps de concentration pour accueillir les séparatistes, les francophiles, les chrétiens, les journalistes trop ambitieux et les artistes trop engagés.